Critique

Hope Springs (Tous les espoirs sont permis)

© Barry Wetcher
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

COMÉDIE | Sur le thème peu couru de l’amour physique à l’âge mûr, David Frankel signe une comédie paradoxalement peu audacieuse. Les clichés sentimentaux abondent chez le réalisateur de The Devil Wears Prada.

HOPE SPRINGS, COMÉDIE DE DAVID FRANKEL. AVEC MERYL STREEP, TOMMY LEE JONES, STEVE CARELL. 1H40. SORTIE: 10/10. **

COMÉDIE | Entre Arnold et Kay, mariés depuis bien des années, l’amour a tourné à la cohabitation. Chambre à part, peu d’échanges verbaux et encore moins physiques. Les pièges de la routine et de la libido en berne se sont refermés sur eux, au point de plonger Kay dans une détresse de moins en moins supportable. Pour raviver la flamme, l’épouse dévouée va proposer à son homme d’aller voir, ensemble, un spécialiste des questions conjugales. Une démarche qu’il ne fera pas de gaieté de coeur… Sur le thème peu couru de l’amour physique à l’âge mûr, David Frankel signe une comédie paradoxalement peu audacieuse. Les clichés sentimentaux abondent chez le réalisateur de The Devil Wears Prada. Mais face à un Steve Carell inadéquat en sexologue, il peut compter sur un remarquable tandem. Meryl Streep et Tommy Lee Jones jouent le jeu d’impeccable manière, dans un film à voir pour eux.

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