Critique

[À la télé ce soir] Prey

Prey © ITV
Guy Verstraeten
Guy Verstraeten Journaliste télé

Prey, polar en trois épisodes aussi classique qu’efficace, est porté par l’énergie de l’excellent John Simm.

Si des Etats-Unis nous viennent, chaque année, d’innombrables fictions télé aux ambitions parfois fort variables, la Grande-Bretagne alimente elle aussi avec une belle régularité le rayon des nouvelles séries. Dans des formats courts, souvent. Et en bien, tout aussi souvent. C’est le cas avec ce Prey, polar en trois épisodes aussi classique qu’efficace, porté par l’énergie de l’excellent John Simm. On est à Manchester où, après quelques tonneaux, un convoi de prisonniers libère les hommes menottés qu’il transportait. Parmi eux, Marcus Farrow (Simm), flic a priori sans problèmes qui, on va rapidement le découvrir, s’était retrouvé accusé du meurtre de sa femme et de l’un de ses fils. A ses trousses, l’inspectrice Susan Reinhardt, persuadée que Marcus est coupable, va tout faire pour remettre la main sur son collègue. La trame, comme on le constate, n’est pas forcément des plus originales, mais troussée avec pas mal d’intensité, cette minisérie ne manque assurément pas de mordant.

MINISÉRIE ITV CRÉÉE PAR CHRIS LUNT. AVEC JOHN SIMM, ROSIE CAVALLERO, CRAIG PARKINSON.

Ce lundi 23 mai à 20h55 sur France 3.

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