Critique

[À la télé ce soir] Les poupées du diable

Les Poupées du diable © DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

Tod Browning, le génial cinéaste, réalise The Devil-Doll, sur un scénario écrit en collaboration avec son sulfureux collègue Erich von Stroheim.

L’épouvante est certes, en ces années 30, le domaine privilégié d’Universal (avec des films sur Frankenstein, Dracula, Le Loup-Garou, La Momie et L’Homme invisible). Mais cela n’empêche pas d’autres studios de lui faire concurrence. La RKO bien sûr, avec King Kong, mais aussi la MGM avec The Devil-Doll, que réalise le génial cinéaste de Freaks Tod Browning, sur un scénario écrit en collaboration avec son sulfureux collègue Erich von Stroheim. C’est l’histoire de deux hommes évadés du bagne. L’un est innocent du meurtre pour lequel il fut condamné, l’autre est un savant fou qui mène des expériences de miniaturisation sur des animaux… On ne dévoilera pas la suite, gratinée, d’un scénario aussi improbable que pervers. Relevons en revanche dans la distribution les noms de Lionel Barrymore, grand-oncle de Drew, et de Maureen O’Sullivan, Jane des films de Tarzan et mère de Mia Farrow.

FILM D’HORREUR / SCIENCE-FICTION DE TOD BROWNING. AVEC LIONEL BARRYMORE, MAUREEN O’SULLIVAN, FRANK LAWTON. 1936.

Ce dimanche 10 avril à 00h25 sur France 3.

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