Critique | Musique

Alice Gold – Seven Rainbows

POP | Runaway Love a tout du tube inter-saisons: coup de rein inné, mélodie infectieuse, voix prometteuse d’amour fleuri. En l’occurrence, celui du titre, mentionnant virée parisienne et Tour Eiffel (sic), clichés artichauts d’un album qui dépasse néanmoins l’eau de rose.

POP | Runaway Love a tout du tube inter-saisons: coup de rein inné, mélodie infectieuse, voix prometteuse d’amour fleuri. En l’occurrence, celui du titre, mentionnant virée parisienne et Tour Eiffel (sic), clichés artichauts d’un album qui dépasse néanmoins l’eau de rose. Sous une pochette psychédélique, Alice Gold, 28 ans, évoque une Stevie Nicks acide, alors que sa référence vocale irait davantage à Janis Joplin, puissamment évoquée dans Conversations Of Love. Ce titre-là tranche sur une majorité de compositions sinueuses et vulnérables, parfois poissées de cafard (Sadness Is Coming) , ou qui donnent simplement l’envie de suivre la dérive promise (The End Of The World). Beaux débuts.

PH.C.

Alice Gold, Seven Rainbows, distribué par Universal. ***

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