Critique | Musique

Hoquets – Belgotronics

POP | Un Américain, un Français et un Belge qui enregistrent des chansons en anglais, en français et quelques mots de néerlandais sur le Maitrank, le stoemp et l’Abbaye d’Orval avec des planches de bois, des boîtes de conserve et des coquilles de noix, ça commence a priori comme une blague à 2 balles. Génial ou débile?

POP | Un Américain, un Français et un Belge qui enregistrent des chansons en anglais, en français et quelques mots de néerlandais sur le Maitrank, le stoemp et l’Abbaye d’Orval avec des planches de bois, des boîtes de conserve et des coquilles de noix, ça commence a priori comme une blague à 2 balles. Génial ou débile? On se pose la question en écoutant Belgotronics. Le premier album, très percussif, et souvent rappé, des 3 Hoquets. On adhère plus à la forme (et l’inventivité) du son qu’au fond (parfois concon) des chansons. Mais frais, différents et audacieux, ces amoureux de Konono et du Staff Banda Bilili tiennent quelques redoutables tubes bricolos comme le fameux Couque de Dinant. Puis aussi la danse de l’été. « Chaud, chaud, chaud, chaud boulet »

J.B.

Hoquets, Belgotronics, distribué par Crammed Discs, ***

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