Critique

[Critique ciné] Ghostland, déchaînement sans réel objet

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

HORREUR | Pascal Laugier, connu pour le secouant Martyrs (2008), décoche un film de genre efficace dans les effets terrifiants.

[Critique ciné] Ghostland, déchaînement sans réel objet

Une mère (Mylène Farmer!) et ses deux filles adolescentes emménagent dans la maison isolée qu’une tante décédée a laissée en héritage. Elles ont à peine déposé leurs affaires quand débarque un sinistre duo qui les agresse avec une violence perverse. Des années plus tard, les survivantes reviendront vers la maison de l’horreur. Mais peut-être ne l’ont-elles en fait jamais quittée… Pascal Laugier, connu pour le secouant Martyrs (2008), décoche un film de genre efficace dans les effets terrifiants. Mais de fausses pistes en vraies impasses, son scénario se contente d’accumuler les moments glauques sans composer de récit prenant. Cela saigne, cela hurle, mais on peut rester de marbre devant ce déchaînement sans réel objet.

De Pascal Laugier. Avec Crystal Reed, Anastasia Phillips, Emilia Jones. 1 h 31. Sortie: 04/04. **(*)

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