Critique | Musique

Mina Tindle – Taranta

Philippe Cornet
Philippe Cornet Journaliste musique

SONGWRITER | Un disque qui accroche dès la première écoute et emmène jusqu’au dernier souffle en nous laissant alors déjà un peu vide de lui: catégorie rare et précieuse incarnée par Mina Tindle.

MINA TINDLE, TARANTA, DISTRIBUÉ PAR PIAS. ***

SONGWRITER | Un disque qui accroche dès la première écoute et emmène jusqu’au dernier souffle en nous laissant alors déjà un peu vide de lui: catégorie rare et précieuse incarnée par Mina Tindle, pseudo tiré d’un film de Mankiewicz, Franco-espagnole aux parfums nord-américains. Même si cette Parisienne d’adoption de 28 ans évoque volontiers Cat Power ou Feist, elle trouve sa propre voie via un chant singulier -caresse charnelle- et des mélodies très fruitées, certainement tributaires du coproducteur de l’affaire, JP Nataf, l’ex-Innocents enfin révélé dans un contexte anglophone. Même si, çà et là, Mina utilise la langue française et quelques bribes d’espagnol pour convoyer ses émotions. Nombreuses sur les quatorze titres.

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