Critique | Musique

Exsonvaldes – Lights

Philippe Cornet
Philippe Cornet Journaliste musique

POP | Le groupe français sort un troisième manifeste studio d’électropop rappelant à la fois les effluves de Depeche Mode/Kraftwerk et Marie & Les Garçons croisant les synthés 80’s de Taxi Girl.

Exsonvaldes - Lights
© DR

Le nom de ce groupe français est donc, à l’orthographe près, celui du pétrolier américain provoquant une gigantesque marée noire en 1989 sur les côtes de l’Alaska (Exxon Valdez). Un rien biaisé vu qu’il n’y a pas une once de cataclysme sur ce troisième manifeste studio d’électropop rappelant tout à la fois les effluves de Depeche Mode/Kraftwerk et Marie & Les Garçons croisant les synthés 80’s de Taxi Girl. Trois titres en français -dont le texte un peu niais de L’Inertie– font penser que l’anglais sied mieux à la mélancolie virale de ces bons mélodistes, produisant même dans Seahorses et Nineties une forme contagieuse d’électrospleen. On quitte alors l’anecdotique pour une impression qui, comme le développement d’aujourd’hui, se doit d’être durable.

  • EXSONVALDES, LIGHTS, DISTRIBUÉ PAR COD&S.

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