Critique | Musique

The War on Drugs – Slave Ambient

ROCK | Si son pote le génial Kurt Vile l’a laissé tomber pour se focaliser sur ses chansons et sa carrière solo, Adam Granduciel a toujours été le songwriter, le boss, la tête pensante de War on Drugs.

ROCK | Si son pote le génial Kurt Vile l’a laissé tomber (sans rancune, les 2 hommes ont encore l’air de se hugger quand ils se croisent dans les rues de Philadelphie) pour se focaliser sur ses chansons et sa carrière solo, Adam Granduciel a toujours été le songwriter, le boss, la tête pensante de War on Drugs. Normal qu’il poursuive aujourd’hui son bonhomme de chemin. Comme le Smoke Ring for my halo de son « bro », Slave Ambient a été profondément marqué par Bob Dylan. Mais Granduciel a beau chanter plus souvent qu’à son tour à la manière nonchalante du Zim, le petit reproche qu’on a envie de lui faire, c’est de sonner par moments un peu trop Springsteen.

J.B.

The War on Drugs, Slave Ambient, distribué par Secretly Canadian. ***

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