Le long-métrage du réalisateur Robin Campillo, narrant l'activisme durant les années sida en France, a été sacré "Meilleur film" vendredi soir à Paris lors de la 43e cérémonie des César. Le film a confirmé son statut de favori, avec six trophées, aux côtés de la production "Au revoir là-haut" pour lequel Albert Dupontel a remporté le prix du "Meilleur réalisateur".
120 battements par minute de Robin Campillo et Au revoir là-haut d'Albert Dupontel font partie des favoris aux César, récompenses annuelles du monde du cinéma français.
Consacrant le passage de Daniel Auteuil à la réalisation, La Fille du puisatier emmène le spectateur en terrain connu, puisque l'acteur y adapte l'oeuvre de Pagnol, immortalisée à l'écran il y a 70 ans.
COMÉDIES DRAMATIQUES | Deux ans après La Fille du puisatier, marquant son premier passage derrière la caméra, Daniel Auteuil confirme avec cette nouvelle adaptation de la trilogie marseillaise -Marius et Fanny, donc, qui sortent à une semaine d'intervalle, mais aussi César, annoncé pour 2014- son obsession pagnolesque, autant d'ailleurs que sa propension à jeter son dévolu sur de jeunes comédiennes certes bien faites mais fort peu talentueuses.
FILM POLICIER | Les rôles de méchants attirent décidément les acteurs belges, en ce moment. Après Jean-Claude Van Damme dans The Expendables 2, c'est Olivier Gourmet qui incarne le côté noir de la force dans un polar où il hérite d'un personnage ignoble, cruel et pervers.
DRAME | Sa petite entreprise ne connaissait pas la crise. Mais de sombres nuages viennent menacer l'optimisme de Georges, patron d'un chantier naval spécialisé dans les bateaux de plaisance.
Les aventures de Marcel Pagnol au cinéma existent depuis presque aussi longtemps que le cinéma parlant lui-même. De 1931 à aujourd'hui, où Daniel Auteuil adapte La fille du puisatier, revue des grands rendez-vous cinéma du plus tendre des ambassadeurs de la Provence.
MELODRAME | Consacrant le passage de Daniel Auteuil à la réalisation, La fille du puisatier emmène le spectateur en terrain connu, puisque l'acteur y adapte l'oeuvre de Pagnol, immortalisée à l'écran il y a 70 ans.