Critique | Musique

Nathan Davis Quartet – Rules of Freedom

JAZZ | Sans doute l’un des meilleurs albums de la collection, signé par un saxophoniste ténor mal connu, entouréde pointures nommées Hampton Hawes (piano), Art Taylor (batterie) et Jimmy Garrison.

NATHAN DAVIS QUARTET, RULES OF FREEDOM, JAZZ IN PARIS COLLECTOR’S EDITION/UNIVERSAL 276-675 (UNIVERSAL). ****

JAZZ | Sans doute l’un des meilleurs albums de la collection, signé par un saxophoniste ténor (qui joue aussi du soprano et de la flûte) mal connu, entouré, ici, de pointures nommées Hampton Hawes (piano), Art Taylor (batterie) et… Jimmy Garrison, contrebassiste de John Coltrane enregistré ici 6 mois après la mort prématuré du maître (juillet 1967) -il y prend notamment un solo à l’archet évoquant ceux de Paul Chambers! Ceci dit, pas très étonnant de le retrouver aux côtés de Nathan Davis, puisque celui-ci évoque furieusement le défunt à sa période modale (1959-1963). Sur un répertoire entièrement composé par le leader, ce disque est une invitation à la redécouverte d’un musicien alors âgé de 30 ans -et qui a enregistré, jusqu’en 1987, une douzaine de disques en tant que leader.

Ph.E.

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