Critique | Musique

Ty Segall – Twins

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

ROCK | Ecouter Ty Segall, c’est un peu comme pisser sur des fils électriques ou se faire tirer dessus au taser en prenant sa douche. Ça décoiffe.

TY SEGALL, TWINS, DISTRIBUÉ PAR DRAG CITY. ****

ROCK | Ecouter Ty Segall, c’est un peu comme pisser sur des fils électriques ou se faire tirer dessus au taser en prenant sa douche. Ça décoiffe. Avec Twins, son troisième album de 2012, le monsieur 100.000 volts du rock californien a tout pour faire péter les plombs d’une jeunesse qui secrètement doit quand même encore aimer les guitares, les vraies. Pas celles de pompiers branleurs ou d’apprentis rockeurs en débardeurs. Celles aux longs cheveux gras qui poussaient dans le psychédélisme des sixties et le grunge noisy des années 90. C’est mélodieux et rock’n’roll. Pop et abrasif. Brigid Dawson de Thee Oh Sees chante sur The Hill. Inside Your Heart a son petit côté Queens of the Stone Age. Là où le nerveux et urgent You’re the Doctor peut être prescrit à tous les agités de la planète. Tiens, prends ça dans la tronche…

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