Critique | Musique

Ty Segall & White Fence – Hair

ROCK | Oubliez New York, brûlez Los Angeles. Pour l’instant, en matière de rock crado qui sent les compilations Nuggets et les champignons qui font rire, c’est à San Francisco que ça se passe.

Ty Segall & White Fence, Hair, distribué par Drag City. ****

ROCK | Oubliez New York, brûlez Los Angeles. Pour l’instant, en matière de rock crado qui sent les compilations Nuggets et les champignons qui font rire, c’est à San Francisco que ça se passe. La preuve avec cette collaboration entre l’étoile montante Ty Segall et son pote White Fence, alias Tim Presley, sorte de Syd Barrett des temps modernes. Ensemble, les deux Californiens ont enregistré huit morceaux imparables qui sentent bon le psychédélisme, le garage, les années 60. Commencent comme du George Harrison pour se terminer par des guitares rock’n’roll et déglinguées. Hair va vous électriser. Vous faire la coupe de cheveux de Tim Burton. Une tuerie.

J.B.

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