Critique | Musique

Too Much & the White Nots – Hootenanny

FOLK | Le premier album des Bruxellois est allé chercher son titre du côté des Etats-Unis: un vieux mot indien dont les folkeux des années 60 se sont servis pour désigner leurs grands rassemblements.

TOO MUCH & THE WHITE NOTS, HOOTENANNY, DISTRIBUÉ PAR AMG. **

FOLK | Trois filles, 4 garçons, il y a du monde chez les Bruxellois de Too Much & White Nots. Leur premier album est allé chercher son titre, Hootenanny, du côté des Etats-Unis: un vieux mot indien dont les folkeux des années 60 se sont servis pour désigner leurs grands rassemblements. Logique: c’est aussi à cela que ressemble la musique des TMWN, baignée dans l’acoustique boisée et l’idiome country-folk. Cela ne les empêche pas pour autant de reprendre Feist (My Moon My Man, plutôt réussi). Alors, certes, il manque les titres marquants nécessaires pour vraiment emballer. Mais quand le groupe reste au plus près de l’os de ses chansons, il arrive à surprendre et séduire.

L.H.

Too Much & The White Nots [for press listening only] by SAM Booking / SAM Records

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