Critique | Musique

The Flaming Lips and Heady Fwends

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

POP | Quand il ne tourne pas des films de science-fiction dans son jardin, qu’il ne reprend pas Pink Floyd, Wayne Coyne enregistre un disque complètement tordu avec ses potes pour célébrer le Record Store Day.

THE FLAMING LIPS, THE FLAMING LIPS AND HEADY FWENDS, DISTRIBUÉ PAR BELLA UNION/V2. **

POP | Il est tout de même barré, Wayne Coyne. Quand il ne tourne pas des films de science-fiction dans son jardin, qu’il ne reprend pas Pink Floyd avec Henry Rollins et Peaches, il enregistre un disque complètement tordu avec ses potes pour célébrer le Record Store Day. Très inégal, difficile à suivre et par moments prise de tête, c’est ce Flaming Lips and Heady Fwends qui vient de voir le jour en CD. Les chansons chaotiques et psychédéliques ont des titres aussi farfelus qu’Helping the Retarded to Know God ou I’m Working at NASA on Acid. Les guests s’appellent Bon Iver, Prefuse 73, Tame Impala, Yoko Ono… Avec mention spéciale pour Edward Sharpe et Nick Cave. Sympa mais à dose homéopathique.

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