Critique | Musique

Sic Alps – Sic Alps

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

ROCK | Les garagistes de Sic Alps sont dans le coup. Et leur quatrième album, le deuxième pour le label Drag City, est plutôt un bon disque de rock psychédélique à sandales, de garage lent, coolos et débraillé.

SIC ALPS, SIC ALPS, DISTRIBUÉ PAR DRAG CITY/V2. ***

ROCK | Ils ont participé au festival All Tomorrow’s Parties programmé par Pavement. Se sont fait interviewer par Thurston Moore et sont des potes à Ty Segall. Les garagistes de Sic Alps sont dans le coup. Et leur quatrième album, le deuxième pour le label Drag City, est plutôt un bon disque de rock psychédélique à sandales, de garage lent, coolos et débraillé. Dans la lignée, en moins réussi, du Goodbye Bread de Ty avant de se prendre les pieds dans un final laborieux et geignard au piano, Sic Alps sent bon les rues de San Francisco et le soleil californien. Mention spéciale pour God Bless Her, I Miss Her qu’on retrouvera sans doute sur les compilations Nuggets de demain. Touch me, I’m Sic…

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