Critique | Musique

Mohini Geisweiller – Event Horizon

ÉLECTROPOP | La pochette ne ment pas sur le contenu: une jeune femme, genre hôtesse de l’air au repos, fixe ce que l’on ne voit pas: sans doute un computer. La musique est évocative des mêmes choses non confirmées, aux racines d’une électropop plus légère que l’air.

ÉLECTROPOP | La pochette ne ment pas sur le contenu: une jeune femme, genre hôtesse de l’air au repos, fixe ce que l’on ne voit pas: sans doute un computer. La musique est évocative des mêmes choses non confirmées, aux racines d’une électropop plus légère que l’air. Mohini évoque parfois les essais d’harmonium de Nico mais aussi les chansons impeccablement taillées d’Agnes Obel. Ou encore la mélancolie de Françoise Hardy et le minimum sonique de Kraftwerk. Sur des programmations et une langue qui passent du français à l’anglais, cette trentenaire venue du trio parisien Sex In Dallas grave des mélodies fluides qui pourraient bien aller jusqu’à l’automne (Raw Forms, Paris 2013, Milk Teeth).

Ph.C.

Mohini Geisweiller, Event Horizon, distribué par Rough Trade. ***

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