Critique | Musique

Jonathan Rado – Law and Order

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

POP | Le membre de Foxygen a trouvé le temps de s’enfermer dans sa chambre pour bosser sur son premier album solo.

Jonathan Rado - Law and Order
© DR

Si son groupe Foxygen, projet dans lequel il joue en compagnie de son pote Sam France depuis qu’il a 15 ans, a effectué une sacré percée en début d’année avec We Are The 21st Century Ambassadors of Peace and Magic, Jonathan Rado a trouvé le temps de s’enfermer dans sa chambre pour bosser sur son premier album solo. Bordélique et inabouti, c’est en partie ce qui fait son charme, Law and Order se prend pour Ty Segall (I Wood), Booker T. and the M.G.’s (Dance Away Your Ego) et Edward Sharpe & The Magnetic Zeros (Hand in Mine). Il réquisitionne la gratte de Tim Presley (White Fence) sur Faces, fait péter les guitares (I Wanna Feel It Now!!!), et termine en déconnant plein tube (l’affreux Pot of Gold). Un beau barjot ce Rado…

  • JONATHAN RADO, LAW AND ORDER, DISTRIBUÉ PAR WOODSIST/KONKURRENT.

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