Critique | Musique

Gravenhurst – The Ghost in Daylight

POP | Cinq ans après avoir électrisé son folk pour dessiner les contours de Western Lands, Nick Talbot revient à la délicatesse et à l’apaisement.

GRAVENHURST, THE GHOST IN DAYLIGHT, DISTRIBUÉ PAR WARP. ****
LE 20/05 À LA DOKARENA (GAND), LE 21/05 AUX NUITS BOTANIQUE, LE 30/05 AU GRAND MIX (TOURCOING).

POP | Cinq ans après avoir électrisé son folk pour dessiner les contours de Western Lands, Nick Talbot revient à la délicatesse et à l’apaisement tout en ornant le nouveau Gravenhurst (lire aussi le Focus du 18 mai) de constructions discrètes et alambiquées bidouillées dans sa chambre sur un ordinateur. Circadian et The Ghost of Saint Paul ne sont que quelques-unes des pépites de ce Ghost in Daylight où le folk de Nick Drake et Bert Jansch se promène dans les paysages sonores de Brian Eno. Incontournable.

J.B.

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