FiftyFifty, reçu 5 sur 5

© FiftyFifty
Laurent Hoebrechts
Laurent Hoebrechts Journaliste musique

À Bruxelles, les sessions FiftyFifty proposent de nouveaux mini-concerts intimistes et exclusifs. Grande première ce soir avec Robbing Millions et les Français de Papooz.

C’est ce soir que ça démarre. La première session FiftyFifty sera en effet dégoupillée dès 18h, du côté de l’hôtel Jam (la nouvelle enseigne cool-bois-et-béton, dont tout le monde parle, récemment débarquée chaussée de Charleroi). L’idée? Elle est limpide. Proposer deux mini-concerts de 25 minutes chacun, devant un public limité – maximum 120 personnes. Ce jeudi soir, ce sont par exemple les Bruxellois de Robbing Millions et les Français de Papooz qui essuieront les plâtres.

« J’avais l’impression que ce genre d’événement manquait dans une ville comme Bruxelles », explique Laetitia Van Hove, attachée de presse indépendante passionnée, à l’origine des Fifty Fifty. « Le but est de présenter une fois par mois, un groupe belge et un groupe étranger. Des musiciens en développement qui viennent jouer dans un chouette cadre, et qui repartent avec un bel outil de communication. » Le concert fera en effet l’objet d’une captation vidéo, d’une VR session, et d’un live Facebook. Sans compter les partenariats avec des médias tels Pure FM (session dans Drugstore) et Les Inrocks. On appelle ça une opération win-win…

Les concerts se déroulent à chaque fois devant un public limité d’invités, et autres gagnants de concours. « On a envie de garder un côté privé, intime, exclusif aussi. » Les prochains noms à l’affiche restent encore secrets. Si la première soirée fait dans le rock indé, les FiftyFifty ne comptent pas forcément se limiter à un genre. « J’imagine très bien une affiche hip hop ou électro, rien n’est exclu. » On en reparle.

Infos: www.facebook.com/fiftyfiftysession

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