Critique | Musique

Eiffel – Foule Monstre

Philippe Cornet
Philippe Cornet Journaliste musique

ELECTRO POP | Potes de Bertrand Cantat, d’ailleurs invité sur son album de 2009 comme sur celui-ci, Eiffel n’a pas oublié la grandiloquence de Noir Désir -le chant, le souffle, le frisson épique-, y rajoutant une dose d’électronique offensive. D’où un mur du son proche de la grammaire anglo-saxonne, la voix étant partie prenante de l’instrumentation globale. Question de syntaxe, cela passe moins clairement qu’outre-Manche même si l’énergie est bien là, comme la théâtralité de chansons adoubant le drame sans pouvoir forcément en révéler la substance. Très français et légèrement engoncé dans un brouillard magnétique romantisé, Eiffel sonne à la manière de lointains descendants dilués de frenchies autrement bouillonnants, les synthé-punks Métal Urbain… (PH.C) EIFFEL , « FOULE MONSTRE », DISTRIBUÉ PAR PIAS **

EIFFEL , « FOULE MONSTRE », DISTRIBUÉ PAR PIAS **

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ELECTRO POP | D’où un mur du son proche de la grammaire anglo-saxonne, la voix étant partie prenante de l’instrumentation globale. Question de syntaxe, cela passe moins clairement qu’outre-Manche même si l’énergie est bien là, comme la théâtralité de chansons adoubant le drame sans pouvoir forcément en révéler la substance. Très français et légèrement engoncé dans un brouillard magnétique romantisé, Eiffel sonne à la manière de lointains descendants dilués de frenchies autrement bouillonnants, les synthé-punks Métal Urbain… (PH.C)

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