Critique | Musique

Efterklang – Piramida

Laurent Hoebrechts
Laurent Hoebrechts Journaliste musique

POP | Partir en voyage ne fait pas tout. Encore faut-il en revenir. En allant piocher l’inspiration dans la ville-fantôme de Pyramiden, Efterklang aurait pu rester prisonnier de son sujet.

EFTERKLANG, PIRAMIDA, DISTRIBUÉ PAR 4AD. ****
EN CONCERT LE 08/11, À L’AB, BRUXELLES.

POP | Partir en voyage ne fait pas tout. Encore faut-il en revenir. En allant piocher l’inspiration dans la ville-fantôme de Pyramiden, Efterklang aurait pu rester prisonnier de son sujet. Pour son quatrième album, le trio danois arrive heureusement à se réapproprier la matière et raconter ses propres mélancolies intimes. Aux fields recordings ramenés du grand froid viennent s’ajouter des choeurs, des cuivres ( The Ghost, Black Summer…), des cordes… Loin de l’objet glacé, Piramida développe même par moments un groove presque soul (Hollow Mountain, Between the Walls). Idéal pour accompagner les longues soirées d’hiver.

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