Critique | Musique

April March & Aquaserge – April March & Aquaserge

Laurent Hoebrechts
Laurent Hoebrechts Journaliste musique

POP | D’un côté, l’Américaine francophile April March, née Elinor Blake (sa version de Laisse tomber les filles de Gainsbourg, rebaptisé Chick Habit, placé notamment sur la BO de Death Proof de Tarantino). De l’autre, les Français pysché-pop d’Aquaserge (comptant notamment en ses rangs Julien Barbagallo, batteur de Tame Impala).

April March & Aquaserge - April March & Aquaserge

La rencontre des deux sonne comme une évidence. Celle d’un album de pop sixties, qui frôle souvent le kitsch chabada sans s’y vautrer. Mixé par John Mc Entire (Tortoise), le disque est bourré de références, prenant des airs de bande-son d’un film Nouvelle Vague. Certes, il tient par moments de l’exercice de style mais, curieusement, sans que cela n’empêche l’objet de dégager un certain charme désuet.

April March & Aquaserge, April March & Aquaserge, distribué par Freaksville.

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