© PAUL LOUBET

Le monde est un village. Tout le monde le sait. Ça fait même 20 ans que Didier Mélon et la RTBF le disent. Jamais cependant la musique n’avait été aussi métissée, mélangée, bariolée qu’aujourd’hui. Exotiques, les Nuits Botanique le seront deux soirs un petit peu plus que les autres. Afrobeat, funk, bikutsi… Le lundi 30 avril, Baloji défendra au Chapiteau son 137 avenue Kaniama. Allusion à l’adresse de sa mère à Lubumbashi où il l’a retrouvée 25 ans après l’avoir quittée. L’ancien Starflam y partagera l’affiche avec la germano-tzigano-nigériane Ayo et surtout avec l’incroyable pianiste franco-libanais Bachar Mar-Khalifé. L’autre expédition du festival à rallonge bruxellois (soirée taillée pour le Cirque royal, mais ne remuons pas le couteau dans la plaie) se tiendra au même endroit le 4 mai. Le pionnier de l’éthio-jazz Mulatu Astatke assurant l’ambiance ensoleillée avec les rythmes afro-cubains sénégalais de l’Orchestra Baobab.

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