« Les choses qu’on ne peut dire à personne »

Distribué par Tricatel.

8

Six instrumentaux plus treize chansons avec ce constat immédiat: au-delà des moments de grâce funambule sans paroles (Crescendo, Tombeau pour David Bowie), on sent bien que le spleen comme son double jouissif -union constante chez BB- traquent les profondeurs. Grâce à la qualité supérieure des arrangements, signés Burgalat, et à celle de l’écriture, parfois impressionnante de concision (Tour des Lilas) ou alors jouant de références décalées pour guider l’émotion (Ultradevotion). Etablissant au final une carte des sentiments orchestrée en réussites manifestes (Musées et cimetières, 36 minutes, Un ami viendra ce soir) et l’envie de réécouter ce disque qui pourrait bien être le Sgt. Pepper’s de Monsieur Burgalat.

PH.C.

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