Le tourbillon

À la faveur de la sortie sur Mubi de Hannah Takes the Stairs, qui la révélait en 2007, retour en cinq rôles sur la carrière d’actrice de Greta Gerwig, la réalisatrice de Little Women.

Hannah Takes the Stairs

Réalisé en 2007 par Joe Swanberg, Hannah Takes the Stairs est un échantillon de la mouvance « mumblecore », courant de films fauchés qui devait fleurir au sein du cinéma indépendant américain au début des années 2000. L’histoire se déroule à Chicago, et gravite autour de Hannah, jeune diplômée venant d’intégrer une petite boîte de production tout en tentant de composer avec sa tendance au papillonnage sentimental qui la laisse « chroniquement insatisfaite »… L’étroitesse du budget est palpable, et le film, un brin bancal, semble par endroits flotter d’une impro à l’autre, sans chercher à réprimer une tendance nombriliste -on est ici entre potes, et l’on ne s’en cache pas, à charge pour le spectateur de trouver sa place. Tout cela serait d’un intérêt relatif si Greta Gerwig ne composait, dans un mélange de naturel et d’esprit, le premier d’une longue galerie de personnages en suspension, Hannah annonçant, dans son mélange d’aplomb et de maladresse, les Violet et autre Frances Ha à venir.

De Joe Swanberg, 2007. Disponible sur Mubi.

Hannah Takes the Stairs

Réalisé en 2007 par Joe Swanberg, Hannah Takes the Stairs est un échantillon de la mouvance « mumblecore », courant de films fauchés qui devait fleurir au sein du cinéma indépendant américain au début des années 2000. L’histoire se déroule à Chicago, et gravite autour de Hannah, jeune diplômée venant d’intégrer une petite boîte de production tout en tentant de composer avec sa tendance au papillonnage sentimental qui la laisse « chroniquement insatisfaite »… L’étroitesse du budget est palpable, et le film, un brin bancal, semble par endroits flotter d’une impro à l’autre, sans chercher à réprimer une tendance nombriliste -on est ici entre potes, et l’on ne s’en cache pas, à charge pour le spectateur de trouver sa place. Tout cela serait d’un intérêt relatif si Greta Gerwig ne composait, dans un mélange de naturel et d’esprit, le premier d’une longue galerie de personnages en suspension, Hannah annonçant, dans son mélange d’aplomb et de maladresse, les Violet et autre Frances Ha à venir.

De Joe Swanberg, 2007. Disponible sur Mubi.

Hannah Takes the Stairs

Réalisé en 2007 par Joe Swanberg, Hannah Takes the Stairs est un échantillon de la mouvance « mumblecore », courant de films fauchés qui devait fleurir au sein du cinéma indépendant américain au début des années 2000. L’histoire se déroule à Chicago, et gravite autour de Hannah, jeune diplômée venant d’intégrer une petite boîte de production tout en tentant de composer avec sa tendance au papillonnage sentimental qui la laisse « chroniquement insatisfaite »… L’étroitesse du budget est palpable, et le film, un brin bancal, semble par endroits flotter d’une impro à l’autre, sans chercher à réprimer une tendance nombriliste -on est ici entre potes, et l’on ne s’en cache pas, à charge pour le spectateur de trouver sa place. Tout cela serait d’un intérêt relatif si Greta Gerwig ne composait, dans un mélange de naturel et d’esprit, le premier d’une longue galerie de personnages en suspension, Hannah annonçant, dans son mélange d’aplomb et de maladresse, les Violet et autre Frances Ha à venir.

De Joe Swanberg, 2007. Disponible sur Mubi.

Hannah Takes the Stairs

Réalisé en 2007 par Joe Swanberg, Hannah Takes the Stairs est un échantillon de la mouvance « mumblecore », courant de films fauchés qui devait fleurir au sein du cinéma indépendant américain au début des années 2000. L’histoire se déroule à Chicago, et gravite autour de Hannah, jeune diplômée venant d’intégrer une petite boîte de production tout en tentant de composer avec sa tendance au papillonnage sentimental qui la laisse « chroniquement insatisfaite »… L’étroitesse du budget est palpable, et le film, un brin bancal, semble par endroits flotter d’une impro à l’autre, sans chercher à réprimer une tendance nombriliste -on est ici entre potes, et l’on ne s’en cache pas, à charge pour le spectateur de trouver sa place. Tout cela serait d’un intérêt relatif si Greta Gerwig ne composait, dans un mélange de naturel et d’esprit, le premier d’une longue galerie de personnages en suspension, Hannah annonçant, dans son mélange d’aplomb et de maladresse, les Violet et autre Frances Ha à venir.

De Joe Swanberg, 2007. Disponible sur Mubi.

Hannah Takes the Stairs

Réalisé en 2007 par Joe Swanberg, Hannah Takes the Stairs est un échantillon de la mouvance « mumblecore », courant de films fauchés qui devait fleurir au sein du cinéma indépendant américain au début des années 2000. L’histoire se déroule à Chicago, et gravite autour de Hannah, jeune diplômée venant d’intégrer une petite boîte de production tout en tentant de composer avec sa tendance au papillonnage sentimental qui la laisse « chroniquement insatisfaite »… L’étroitesse du budget est palpable, et le film, un brin bancal, semble par endroits flotter d’une impro à l’autre, sans chercher à réprimer une tendance nombriliste -on est ici entre potes, et l’on ne s’en cache pas, à charge pour le spectateur de trouver sa place. Tout cela serait d’un intérêt relatif si Greta Gerwig ne composait, dans un mélange de naturel et d’esprit, le premier d’une longue galerie de personnages en suspension, Hannah annonçant, dans son mélange d’aplomb et de maladresse, les Violet et autre Frances Ha à venir.

De Joe Swanberg, 2007. Disponible sur Mubi.

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