7/ James Blake « James Blake » (2011)

Rappelez-vous. On parlait à l’époque de « the quiet is the new loud », pour désigner, sinon une scène, en tout cas une tendance à jouer sur l’économie des sons et des effets (les premiers albums de The XX, Bon Iver, Jamie Woon, etc.). Un ascétisme qui ne résistera toutefois pas longtemps à la folie d’une décennie chaotique et bruyante. Associé à ce mouvement, James Blake réussira malgré tout à y imposer sa patte, à coups de mélancolies urbaines électroniques déchirantes.

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