Critique

Où va la nuit

DRAME | Le mari de Rose Mayer a renversé une jeune fille avec sa voiture et l’a tuée. Pris de boisson au moment des faits, il porte la responsabilité de cette mort tragique. Son épouse supporte par ailleurs de plus en plus mal la violence quasi quotidienne de cet homme au vin mauvais, qui la méprise et la bat. Un jour, Rose reprendra sa liberté.

DRAME | Le mari de Rose Mayer a renversé une jeune fille avec sa voiture et l’a tuée. Pris de boisson au moment des faits, il porte la responsabilité de cette mort tragique. Son épouse supporte par ailleurs de plus en plus mal la violence quasi quotidienne de cet homme au vin mauvais, qui la méprise et la bat. Un jour, Rose reprendra sa liberté. Peut-être au prix fort…

Yolande Moreau est une fois de plus extraordinaire dans un film âpre et vériste où elle retrouve son réalisateur de Séraphine, Martin Provost. La seconde partie du film, où l’héroïne va vivre chez son fils homosexuel, à Bruxelles, tout en devenant l’objet d’une enquête policière, voit sans doute l’intérêt fléchir quelque peu après une première partie captivante. Mais l’ensemble garde une belle tenue, faisant un écrin de choix à la prestation géniale d’une interprète hors norme.

Où va la nuit, drame de Martin Provost, avec Yolande Moreau, Pierre Moure, Edith Scob. 1h45.

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Louis Danvers

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