Critique

[Le nanar de la semaine] Ballerina

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

ANIMATION | Un film d’animation qui ajoute à son scénario poussif une esthétique bas de gamme vite décourageante.

[Le nanar de la semaine] Ballerina

Battant pavillon franco-canadien, Ballerina consacre la première incursion de Quad productions (L’arnacoeur, Intouchables, Samba) dans le cinéma d’animation. On mentirait en parlant de réussite, et le film -l’histoire de Félicie, une jeune orpheline bretonne se rêvant petit rat de l’Opéra dans le Paris de la fin du XIXe siècle, et affrontant les épreuves avec un coeur gros comme ça-, ajoute à son scénario poussif une esthétique bas de gamme vite décourageante. Si l’animation fait illusion, l’impression d’ensemble tend au concentré de mauvais goût -jusqu’à Casse-noisette qui n’échappe pas à un traitement criard. Tchaïkovski se retourne dans sa tombe, et le spectateur demande grâce face à un film en étant singulièrement dépourvu…

D’ERIC SUMMER ET ERIC WARIN. AVEC LES VOIX DE CAMILLE COTTIN, MALIK BENTALHA. 1H29. SORTIE: 14/12. °

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