Critique

Intimate Grammar

© DR
Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

DRAME | Adapté du Livre de la grammaire intérieure de David Grossman, Intimate Grammar trace le portrait de Aharon, un gamin de 11 ans vivant dans un quartier populaire de la Jérusalem du début des années 60.

DRAME DE NIR BERGMAN. AVEC ROEE ELSBERG, ORLY SILBERSATZ BANAI, EVELYN KAPLUN. 1H50. SORTIE: 28/11. ***

DRAME | Adapté du Livre de la grammaire intérieure de David Grossman, Intimate Grammar trace le portrait de Aharon, un gamin de 11 ans vivant dans un quartier populaire de la Jérusalem du début des années 60. Et qui, évoluant entre un environnement familial fruste et une voisine énigmatique, va s’enfoncer toujours plus avant dans son monde intérieur, non sans refuser obstinément de grandir. Entamé sur le mode insouciant d’un récit initiatique classique, le film de Nir Bergman va, à sa suite, et tandis qu’il décline sa grammaire intime incertaine, gagner des horizons d’une noirceur assumée. En résulte un drame sensible, inscrit à fleur de (pré)adolescence, et vibrant d’une fragile intensité. A noter que Flagey accompagne judicieusement la sortie de ce film de la reprise de Broken Wings, le premier long métrage du réalisateur israélien.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content