Critique

Des gens qui s’embrassent

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Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

COMÉDIE | Avec Des gens qui s’embrassent, Danièle Thompson, la réalisatrice de La bûche et autres Fauteuils d’orchestre, évolue en terrain familier, celui du film choral.

COMÉDIE DE DANIÈLE THOMPSON. AVEC KAD MERAD, ERIC ELMOSNINO, LOU DE LAÂGE. 1H40. SORTIE: 10/04. *

COMÉDIE | Avec Des gens qui s’embrassent, Danièle Thompson, la réalisatrice de La bûche et autres Fauteuils d’orchestre, évolue en terrain familier, celui du film choral. En l’occurrence, ce sont les affres de la famille qui l’accaparent à nouveau, cristallisées autour de deux frères que tout sépare, Zef (Eric Elmosnino) et Roni (Kad Merad). Soit un musicien austère et un parvenu exubérant, dont la vie va se charger d’exacerber l’antagonisme, le premier enterrant sa femme alors même que le second marie sa fille. Et encore n’est-ce là qu’un début. On a déjà connu la cinéaste plus inspirée qui, en guise de comédie de moeurs, s’en tient ici à un chapelet de clichés, débités sans guère de conviction de Paris à Saint-Trop, pour un résultat aussi sûrement inoffensif qu’insipide.

Tout au plus si l’on épinglera la composition d’Ivry Gitlis, savoureux dans son emploi de père à la mémoire en capilotade…

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