Critique

Critique ciné: Wolves, puéril, déficient et barbant

Wolves (Jason Momoa) © DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

FANTASTIQUE | La nuit est d’encre, l’ennui est profond.

Les loups-garous du film de David Hayter ont beau jouer du croc et de la griffe, et se trucider joyeusement entre eux, rien ne vient secouer la triste et accablante banalité d’un spectacle fantastique et d’horreur aussi mal joué que réalisé de manière routinière. Même l’ajout du cannibalisme n’apporte aucun frisson, dans un récit prenant pour personnage principal un lycéen américain dont les crises de colère et la pousse soudaine de poils épais révèlent qu’il a été adopté, et est né de parents lycanthropes. Destiné à un public adolescent, Wolves est à la fois puéril, déficient et barbant.

  • DE DAVID HAYTER. AVEC LUCAS TILL, JASON MOMOA, MERRITT PATTERSON. 1H31. SORTIE: 07/01.
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