Critique

Critique ciné: The Railway Man, laborieux en dépit de son casting de luxe

Colin Firth dans The Railway Man © DR
Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

DRAME | Evoquant Le Pont de la rivière Kwai ou Furyo par son contexte historique, The Railway Man est assurément un film animé d’intentions généreuses.

Quarante ans après, Eric Lomax (Colin Firth) n’en a pas fini de ses démons de la Seconde Guerre mondiale lorsque, officier britannique, il avait été fait prisonnier par les Japonais et contraint, sous la torture, de travailler à la construction du chemin de fer birman. Un traumatisme que va tenter de l’aider à surmonter Patti Wallace (Nicole Kidman), sa seconde épouse, après avoir découvert que son tortionnaire d’alors était encore vivant. Evoquant Le Pont de la rivière Kwai ou Furyo par son contexte historique, The Railway Man est assurément un film animé d’intentions généreuses. Mais s’il débute de manière sensible, c’est pour ployer ensuite sous un académisme pesant, et laisser une impression laborieuse en dépit de son casting de luxe.

  • DE JONATHAN TEPLITZKY. AVEC COLIN FIRTH, NICOLE KIDMAN, STELLAN SKARSGARD. 1H56. SORTIE: 11/06.
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