Critique

[Critique ciné] The Place, proche du néant absolu

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

DRAME | Pour la grande réflexion métaphysique sur le bien, le mal, l’amour, la mort, et tout le tintouin, on repassera!

[Critique ciné] The Place, proche du néant absolu

Une jeune femme déterminée à améliorer son apparence, un aveugle désireux de retrouver la vue, une nonne espérant renouer avec Dieu… Les clients d’un même bar défilent à la table d’un homme mystérieux pour passer avec lui un pacte de nature faustienne. Soit, à l’arrivée, 1 heure 45 de paresseux champs-contrechamps à l’esthétique télévisée (The Place est une adaptation transalpine de la série américaine The Booth at the End) et à l’écriture en surface imbriquant sur une musique d’ascenseur et de manière on ne peut plus prévisible les destins de personnages sans consistance… Autant dire que, cinématographiquement parlant, on frise le néant absolu. Pour la grande réflexion métaphysique sur le bien, le mal, l’amour, la mort, et tout le tintouin, c’est sûr, on repassera aussi.

De Paolo Genovese. Avec Valerio Mastandrea, Marco Giallini, Alba Rohrwacher. 1h45. Sortie: 13/06. *(*)

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