Critique

[Critique ciné] Pawn Sacrifice, le match (d’échecs) du siècle

Tobey Maguire dans Pawn Sacrifice © Takashi Seida
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

DRAME | Le « prodige » du titre français, le héros ambigu du film, c’est Bobby Fischer, génie des échecs et parano de première.

Tobey Maguire offre efficacement ses traits de vieil adolescent -il a déjà 40 ans mais ne les fait nullement- au personnage central d’un Pawn Sacrifice recréant de manière très crédible le « match du siècle » qui opposa Fischer à Boris Spassky à l’été 1972 en Islande. Un affrontement entre un champion américain et un autre soviétique, à l’époque de la Guerre froide et de tous les soupçons. Les conventions du biopic sont mises en oeuvre sans inventivité, mais la force du sujet capte et retient l’attention jusqu’au bout.

De Edward Zwick. Avec Tobey Maguire, Liev Schreiber, Michael Stuhlbarg. 1h54. Sortie: 25/11.

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