Critique

[Critique ciné] Mauvaises herbes, un propos fort

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

COMÉDIE | Le deuxième film de l’humoriste Kheiron plie malheureusement sous le poids des bonnes intentions.

[Critique ciné] Mauvaises herbes, un propos fort

« Il n’y a pas de mauvaises herbes, il n’y a que des mauvais cultivateurs! » Belle formule, placée dans la bouche d’un André Dussollier jouant les philanthropes, dévoué à recueillir des adolescents exclus du système scolaire. Le deuxième film de l’humoriste Kheiron (après l’autobiographique et attachant Nous trois ou rien) exprime la foi que ces enfants perdus puissent devenir de jeunes pousses porteuses d’avenir. Un propos fort, et un beau duo du réalisateur-acteur avec Catherine Deneuve épanouie en retraitée complice de menus larcins. Dommage que le poids des (bonnes) intentions se fasse un peu lourd, empêchant ce film assez démonstratif de respirer pleinement.

De Kheiron. Avec Kheiron, Catherine Deneuve, André Dussollier. 1h40. ***

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