Critique | Cinéma

[Critique ciné] Even Lovers Get the Blues, premier film sensuel

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

CHRONIQUE DRAMATIQUE | Laurent Micheli capte quelque chose de l’air du temps et d’une génération.

[Critique ciné] Even Lovers Get the Blues, premier film sensuel

Le désir circule à belle allure dans ce premier film sensuel, où de jeunes trentenaires vivent leurs aventures amoureuses au fil des projets mais aussi des rencontres, en construisant parfois mais avec toujours un sentiment d’urgence. Laurent Micheli capte quelque chose de l’air du temps et d’une génération. Mais si les comédiens jouent de manière engagée, leur ferveur n’est pas toujours synonyme de justesse. Et la chronique mêle avec un bonheur inégal l’audace (parfois électrisante) et les clichés (parfois bien lourds). La sensibilité de Laurent Micheli n’en fait pas moins un réalisateur à suivre.

De Laurent Micheli. Avec Marie Denys, Tristan Schotte, Adriana Da Fonseca. 1h35. Sortie: 30/08. ***

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