Critique

[Critique ciné] Drôles de petites bêtes, éloge un peu simplet de la différence

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

FILM D’ANIMATION | Baigné d’une froide esthétique numérique, un film par ailleurs trop long pour le (très) jeune public.

[Critique ciné] Drôles de petites bêtes, éloge un peu simplet de la différence

Véritable phénomène d’édition de la littérature jeunesse, l’univers des drôles de petites bêtes chères à Antoon Krings (Mireille l’abeille, Loulou le pou, Huguette la guêpe…) se décline désormais en un long métrage d’animation où un grillon saltimbanque, ex-star du music-hall, se découvre des penchants héroïques face au putsch brutal qui se trame dans le village où il a atterri. Éloge un peu simplet de la différence, le récit de cette fable politico-écolo tarde à se mettre en place, diluant inutilement ses enjeux en bavardages souvent dépourvus de rythme et d’humour. Baigné d’une froide esthétique numérique, un film par ailleurs trop long pour le (très) jeune public.

D’Arnaud Bouron et Antoon Krings. Avec les voix de Virginie Efira, Kev Adams. 1 h 28. Sortie: 04/04. **(*)

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