Critique

Critique ciné: Danny Collins, Al Pacino cabotine

Al Pacino dans Danny Collins © DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

COMÉDIE DRAMATIQUE | Pacino cabotine à l’excès dans un film par endroits plaisant mais aussi artificiel et figé qu’un lifting de qualité -très- moyenne.

Al Pacino avait déjà conjugué sexe, drogue et rock’n’roll dans l’assez fascinant Spector réalisé par David Mamet pour la télévision en 2013. Il y revient dans la peau cette fois non pas d’un producteur génial et psychopathe, mais dans celle d’un chanteur vieillissant, ex-rocker fatigué, alcoolisé, ressassant les succès qui l’ont rendu millionnaire pour un public de fans fanées. La révélation d’une lettre ancienne que lui écrivit… John Lennon lui donnera, sur le tard, l’envie de remonter le temps. Pacino cabotine à l’excès dans un film par endroits plaisant mais aussi artificiel et figé qu’un lifting de qualité -très- moyenne.

DE DAN FOGELMAN. AVEC AL PACINO, ANNETTE BENING, JENNIFER GARNER. 1H46. SORTIE: 03/06.

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