Critique | Musique

Critique musique : Jeremy Warmsley déclare sa flamme à Brian Wilson dans American Daydream

4 / 5
© National
4 / 5

Album - American Daydream

Artiste - Jeremy Warmsley

Genre - Pop

Label - Golden Archive

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

“American Daydream”

Après avoir sorti en 2019 un album (A Year) composé de douze chansons dévoilées mensuellement reflétant et portant pour titre chaque mois de l’année de janvier à décembre, voilà que Jeremy Warmsley débarque avec un disque inspiré par la vie et la musique de Brian Wilson. Alors que She and Him, Matt Ward et Zooey Deschanel viennent de lui consacrer un tribute revisitant notamment Wouldn’t It Be Nice, Warmsley a lui écrit et composé quatorze morceaux qui sonnent comme un album caché des Beach Boys. Une déclaration d’amour gorgée de soleil, telle une lettre enflammée de fan, qui parle de paternité, de famille et de maladie mentale (Top of the World évoque la dépression nerveuse de Brian en 1964). Good vibrations…

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content