Critique

[Critique ciné] Wonder, incessant chantage aux sentiments

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

DRAME | L’oeil humide et la lèvre tremblante, Julia Roberts profite de chacune de ses interventions à l’écran pour mendier un nouvel Oscar.

[Critique ciné] Wonder, incessant chantage aux sentiments

Elle est ici la mère d’un petit garçon né avec une malformation au visage qui fait ses premiers pas à l’école, hors du cocon familial, avec tout ce que cela implique en termes de potentiel rejet social. Moins un éloge de la différence qu’un incessant chantage aux sentiments, Wonder est aussi moins un objet de cinéma qu’un kit de leçons de vie à l’impardonnable orientation « freaky cute ». Le jeu des enfants y sonne souvent faux et le systématisme des paresseuses références à Star Wars fatigue dans cette peinture mensongère d’un monde où rien de grave ne peut jamais arriver.

De Stephen Chbosky. Avec Jacob Tremblay, Julia Roberts, Owen Wilson. 1h53. Sortie: 27/12. *(*)

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