Critique

[Critique ciné] Bar Bahar (Je danserai si je veux), séduisant portrait au féminin pluriel

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

DRAME | Pour son premier long métrage, la cinéaste palestinienne Maysaloun Hamoud s’est largement inspirée de sa propre expérience.

[Critique ciné] Bar Bahar (Je danserai si je veux), séduisant portrait au féminin pluriel

Il y a d’abord Layla et Salma, l’une avocate et l’autre DJ occasionnelle, deux Palestiniennes partageant, outre le goût de la fête, un appartement à Tel Aviv, à l’écart des diktats imposés par la société. Et puis Nour, leur nouvelle colocataire, une étudiante en informatique portant le voile, avec qui elles sympathisent bientôt. Soit trois jeunes femmes arabes aux profils sensiblement différents, mais unies dans un même combat délicat pour leur émancipation. Pour son premier long métrage, la cinéaste palestinienne Maysaloun Hamoud s’est largement inspirée de sa propre expérience. Elle livre un film en forme de séduisant portrait au féminin pluriel qui, pour être parfois un brin mécanique, n’en vibre pas moins d’un puissant appel de liberté, et de l’élan de ses trois héroïnes.

De Maysaloun Hamoud. Avec Mouna Hawa, Sana Jammelieh, Shaden Kanboura. 1h42. Sortie: 14/06. ***(*)

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