Critique | Cinéma

Une vie rêvée: Valeria Bruni Tedeschi, affabulatrice en faillite

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©D.R.
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Titre - Une vie rêvée

Réalisateur-trice - de Morgan Simon

Casting - Avec Valeria Bruni Tedeschi, Félix Lefebvre, Lubna Azabal

Durée - 1h37


Morgan Simon signe avec Une vie rêvée une tragédie du déclassement, avec Valeria Bruni Tedeschi en mère en galère.

En faillite personnelle, Nicole, gentille affabulatrice, est à découvert auprès de son banquier comme de son fils de 19 ans, Serge, qui n’en peut plus de leur vie étriquée. Cette existence assourdie par les soucis financiers lui pèse plus que jamais, pourtant Nicole y croit encore. Peut-être que L’Oasis, le bar que tient Norah au pied d’une barre d’immeuble de sa cité, saura étancher sa soif de bonheur.

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Avec Une vie rêvée, Morgan Simon imagine une tragédie du déclassement contrariée par la possibilité du bonheur. Comme un film de Noël qui résisterait à la réalité du terrain, un terrain âpre fait de chômage, d’endettement, de tensions communautaires et de vote FN. Si le ton flotte parfois, certaines scènes en état de grâce avec des personnages qui se révèlent tout sauf secondaires emportent le morceau.

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