Critique | Cinéma

Louise Violet: drame historique sur une institutrice au passif révolutionnaire

2,5 / 5
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Titre - Louise Violet

Réalisateur-trice - d’Eric Besnard

Casting - Avec Alexandra Lamy, Grégory Gadebois, Jérôme Kircher.

Durée - 1 h 49

Alexandra Lamy est Louise Violet, ex-révolutionnaire, envoyée dans un village de province pour y appliquer la toute nouvelle obligation scolaire.

1889. Louise Violet, de retour du bagne après avoir participé à la Commune de Paris, est envoyée en province pour prendre un poste d’institutrice, dans le cadre de la toute nouvelle obligation scolaire. Dès les premières images, une voix masculine anonyme la renvoie à son genre (et à l’outrecuidance de ces femmes qui souhaitent enseigner) et à son passif révolutionnaire.

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Bien sûr, au village, son arrivée bouscule les traditions, et la perspective de manquer aux champs des bras des enfants ne réjouit personne. Mais à force de pédagogie, Louise Violet finit par convaincre les habitants du bien-fondé de son sacerdoce laïc. Sans démériter mais sans grande originalité, ce drame historique perd un peu de vue, en multipliant les intrigues secondaires, son héroïne, dont les failles sont malheureusement sous-exploitées.

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