Critique | Cinéma

Les Enfants perdus: récit de résilience et de solidarité à hauteur d’enfant

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Titre - Les Enfants perdus

Réalisateur-trice - De Michèle Jacob

Casting - Avec Iris Mirzabekiantz, Liocha Mirzabekiantz, Louis Litt Magis

Durée - 1 h 37

Dans Les Enfants perdus, la réalisatrice belge Michèle Jacob nous invite à nous souvenirs des monstres de notre enfance planqués dans le noir.

Audrey, 10 ans, se réveille dans une maison isolée au milieu de la forêt, entourée de son frère et sa sœur. Libérés des adultes, les enfants s’amusent avant de s’inquiéter. Alors qu’ils cherchent à rentrer chez eux, ils reviennent sans cesse sur leurs pas, piégés par la forêt. Ils se mettent à douter de leurs sens, perdent la notion du temps et de l’espace.

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Dans un décor stylisé, la cinéaste nous invite à nous souvenir des monstres tapis dans le noir de nos enfances, figurant une bête comme dessiné, tout droit sorti d’un livre. Les Enfants perdus endosse le costume du film de genre, malgré des moyens que l’on sent parfois limités, pour offrir un récit d’adelphité et de résistance, de solidarité et de résilience, qui nous incite au passage à repenser les contes de fées de notre enfance.

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