Critique | Cinéma

Le Robot sauvage: le nouveau Dreamworks ne convainc pas tout à fait

2,5 / 5
(from left) Fink (Pedro Pascal) and Roz (Lupita N’yongo) in DreamWorks Animation’s Wild Robot, directed by Chris Sanders.
2,5 / 5

Titre - Le Robot sauvage

Genre - Animation

Réalisateur-trice - De Chris Sanders.

Durée - 1 h 42

Le Robot sauvage, le nouveau film d’animation de Dreamworks, prend pour héros Rozzum 1734, une assistante personnelle robotisée, qui se retrouve perdue en pleine nature.

Dans Le Robot sauvage, Rozzum 1734, Assistante personnelle robotisée, échoue sur une plage déserte, en pleine nature. Dotée d’une grande capacité d’adaptation, elle survit avec inventivité dans cette nature pourtant hostile, avec son petit peuple malicieux. Mais en bonne assistante personnelle, elle a besoin d’une mission pour donner un sens à son existence, mission toute trouvée avec Joli Bec, bébé canard à materner jusqu’à ce qu’il soit apte à entreprendre sa première grande migration.

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Ce nouveau Dreamworks adapté d’un roman jeunesse à succès est assez plaisant jusqu’à ce premier envol, mais son dernier tiers, entre affrontements lassants et valeurs dépassées plombent le film. Les images de ce Robot sauvage offrent une rupture intéressante, bien que pas toujours très lisible, avec ce qui se fait actuellement en animation.

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