La franchise préférée (ou pas) des paléontologues est de retour avec un sixième volet, 30 ans après le Jurassic Park de Spielberg. C’est peu dire que la recette tient plus à ce stade de la (photo)copie que de la réinvention du concept. Côté dino, on commence en six épisodes à avoir fait le tour du bestiaire. Les scénaristes ont donc dû se creuser la tête pour sortir de leur manche le giganotosaure, quelques créatures à plumes, et oser les sauterelles génétiquement modifiées. Le scénario? Pour quoi faire? Le film tient de toutes façons plus de l’attraction à sensations fortes que du film culte. On oubliera donc le message sentencieux sur la tendance de l’humanité à exterminer les autres espèces et les 20 minutes de trop, et on retiendra le casting sympathique bien que pléthorique, d’humains comme d’animaux.
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