Débarqué sur les écrans en 2015, Ant-Man aura réussi une prouesse pas à la portée du premier super-héros venu: injecter une appréciable dose d’humour au Marvel Cinematic Universe. Postulat vérifié au fil des épisodes, le troisième volet de ses aventures expédiant Scott Lang (Paul Rudd), Hope van Dyne (Evangeline Lilly) et leur famille dans le royaume quantique, où il va leur falloir en découdre avec un méchant hors norme, Kang (Jonathan Majors). Scénario prétexte à une débauche d’univers et de créatures multiples, la première partie du film, qui orchestre sous de loufoques auspices la rencontre entre Star Wars et John Carter dans un environnement à l’esthétique psychédélique vintage, s’avérant du plus bel effet, avant que l’action ne vienne reprendre ses droits. Plaisant.
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