
AMERICANA | Oui, ce disque en rappelle d’autres, courtisés sous la bannière infinie des musiques roots américaines, folk et country teintés de rock.
ANNA TERNHEIM, THE NIGHT VISITOR, DISTRIBUÉ PAR V2 RECORDS. ***
AMERICANA | Oui, ce disque en rappelle d’autres, courtisés sous la bannière infinie des musiques roots américaines, folk et country teintés de rock. Et la voix de cette chanteuse de 34 ans sonne telle une cousine pastorale de Suzanne Vega. La surprise vient sans doute de l’origine suédoise de la chanteuse, bien plus proche de Nashville que de Stockholm. La qualité de ce cinquième album solo est dans sa globalité, son intégrité mélodique et sa manière d’amener une forme de douceur sans l’ombre d’une mièvrerie. Beau moment partagé sur le second titre avec Dave Ferguson, qui s’est entre autres illustré en enregistrant la série des albums American Recordings de Johnny Cash, fonction qu’il remplit ici en plus du mix, senti et délicat.
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