Critique | Musique

Anna Ternheim – The Night Visitor

Philippe Cornet
Philippe Cornet Journaliste musique

AMERICANA | Oui, ce disque en rappelle d’autres, courtisés sous la bannière infinie des musiques roots américaines, folk et country teintés de rock.

ANNA TERNHEIM, THE NIGHT VISITOR, DISTRIBUÉ PAR V2 RECORDS. ***

AMERICANA | Oui, ce disque en rappelle d’autres, courtisés sous la bannière infinie des musiques roots américaines, folk et country teintés de rock. Et la voix de cette chanteuse de 34 ans sonne telle une cousine pastorale de Suzanne Vega. La surprise vient sans doute de l’origine suédoise de la chanteuse, bien plus proche de Nashville que de Stockholm. La qualité de ce cinquième album solo est dans sa globalité, son intégrité mélodique et sa manière d’amener une forme de douceur sans l’ombre d’une mièvrerie. Beau moment partagé sur le second titre avec Dave Ferguson, qui s’est entre autres illustré en enregistrant la série des albums American Recordings de Johnny Cash, fonction qu’il remplit ici en plus du mix, senti et délicat.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. En cliquant sur « Voir le contenu », vous acceptez les cookies. Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.
Voir le contenu

Partner Content