Critique

À la télé ce soir: In the Flesh

In The Flesh © BBC
Guy Verstraeten
Guy Verstraeten Journaliste télé

Si l’on craint d’abord une énième fiction de zombies, on se rend vite compte de la bonne idée de Dominic Mitchell: situer In the Flesh par-delà les limites habituelles.

Kieren va bientôt sortir de l’hôpital. Après une convalescence d’un genre un peu particulier. Comme nombre de ses semblables, il est mort quelques années plus tôt, avant de renaître sous forme de zombie, massacrant ceux qui se trouvaient sur son passage. Or, plutôt que d’éradiquer tous ces monstres, le gouvernement a fini par trouver une médication pour en réhabiliter certains. Horrifié par ce qu’il a fait, Kieren rentre donc dans sa famille. Forcément déstabilisant… Surtout pour une soeur qui s’était engagée dans les milices antizombies, milices qui, dans le petit village de Roarton, se veulent toujours aussi vigilantes qu’agressives.

Si l’on craint d’abord une énième fiction de zombies, on se rend vite compte de la bonne idée de Dominic Mitchell: situer In the Flesh par-delà les limites habituelles. Et si l’on pense un peu aux Revenants, on ne peut s’empêcher de voir dans cette histoire une allégorie sur la radicalisation et la réhabilitation. Cela posé, malgré des intentions intéressantes, on se peine à se passionner pour cette histoire qui manque un peu de souffle.

SÉRIE BBC THREE CRÉÉE PAR DOMINIC MITCHELL. AVEC LUKE NEWBERRY, DAVID WALMSLEY, STEVE EVETS.

Ce jeudi 17 décembre à 22h55 sur France 4.

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